Accueil
 
Lien
 
Script
 
E-mail
 
   
 
photos
albums
groupes
site officiel
historique
vidéos
interview
Bouton9
Bouton10
 
easycreation.com
   
   
 


paroles

Pleymo a sorti un premier album "Keçkispasse" en 2000 avec les chansons qui ont pour titres :

01 - Yallah
02 - Blöhm
03 - Frakasse smala
04 - Silicone liquid
05 - Nawak
06 - Porn
07 - K-ra
08 - Cosmic gros pluck
09 - Bigquick
10 - Soukaripa
11 - T.N.
12 - Vost

CRITIQUE
L'évaluation de l'auteur:

Textes : Bons
Chant/voix : Bon
Musique : Excellente
Arrangements : Excellents
Créativité : Bonne
Avantages : Une tuerie comme pas deux ! Label Nowhere : qualité indiscutable !
Inconvénients : Ben disons, que l'inconvénient, c'est d'avoir des voisins...;-)

Avis complet :

Pleymo... Non c'est pas un jouet, c'est un groupe. Et quel groupe ! Du Skatecore français comme on dit. Non c'est pas des skateurs qui font du hardcore...Pleymo, c'est une fusion des genres tout à fait unique.

J'ai découvert l'hiver dernier, et depuis il ne se passe pas une semaine sans que je me passe un p'tit morceau d'eux...L'état d'esprit du groupe c'est du genre tequila, bonne beu, sexe, fête et pote. Et oui ca fait penser au Punk américain, sauf qu'en fait, ces p'tits gars en veulent vraiment, ils veulent faire péter la baraque et déchaîner la jeunesse. Ils sont bien trash quoi !

Le ton du chant dégage certes un accent de banlieusard, mais chers métalleux, ne vous inquétez pas on est loin du Rap français, car la musique est totalement maîtrisée par ces 5 parisiens complètement foufous. D'ailleurs, ils font partie du collectif Nowhere...Un collectif rassemblant de nombreux groupes de metal, neo, fusion bref que du bon rock : Enhancer, AqMe, Wünjo, Masnada, Boog-ïa vous connaissez ? Artsonic et Watcha sont derrière aussi...Enfin bref, des valeurs sûres, car ils défendent les couleurs de scène frenchie de neo métal...

Bon désormais, parlons un peu du contenu de l'album...La première piste est assez stressante...Ce "Yallah" nous fait quelque peu pâlir durant ses 30 premières secondes...De la techno, très speed, vraiment angoissante...Mais heureusement les gueulards sont arrivés ! ;-) Et oui car sortis de nulle part, un véritable cri de rage déchire les airs, des guitares se déchainent, et les percus c'est même pas la peine d'en parler...

"Blöhm" arrive alors, en commencant par un "We are under attack !", qui annonce le topo : on est tous oppressé. Le but de la chanson sera de décrire les sources de ces pressions et d'en proposer des solutions...radicales : le groupe critique notre société de consommation et les médias, et pour résoudre ce problème, le chanteur scande : "Y a plus rien à faire, faut flanquer le dawa"...Une musique très entraînante, et vraiment rageuse...Des riffs de folies qui ne s'interrompent jamais, des bruits bizarres émis par les membres du groupe et aussi une batterie qui s'accorde parfaitement au reste. Une fois qu'on est séduit on ne s'en lasse pas...

La troisième chanson s'intitule "Frakasse Smala", et de par son contenu est assez originale : une chanson toute entière dédiée aux remerciements des proches, des gens qui ont soutenus le quintet. Les Daft Punk avait déjà utilisé ce concept avec leur premier album, mais là, c'est un tout autre registre, car en plus des remerciements, ils critiquent les artistes "machines à fric" qui vendent leur musique pas musicale et artificielle tandis que des groupes comme ceux de Nowhere galèrent pas mal juste pour enregistrer...La chanson par ce côté dégage donc aussi l'agressivité et la rage de vaincre qu'on retrouve tout au long d'album.

"Silicone Liquid" est une chanson qui dénonce la globalisation et la "standardisation" des gens (surtout des filles) qui prennent modèle sur des concepts commerciaux (Pamela Anderson, les cruches du genre quoi). Pleymo nous invite à être nous même, à ne pas se laisser embobiner par le système, à exprimer notre propre personnalité (en gros ils en ont marre des gros bonnets artificiels, et préfèrent une bonne tite poitrine naturelle ! ;-)

L'un des cris de ralliement de Nowhere, c'est bien Nawak, et on retrouve une chanson du même titre sur cet album, "Keçkispasse ?". Ici le groupe reproche aux gens d'adopter un refrain, une devise juste parce que celle ci est à la mode. Ils en ont marre des lâches, ça les rend fous...

"Porn" est un sacré bel hommage aux stars du porno, et est aussi une remarquable défense prise par rapport à ce milieu très souvent critiqué. Normal, ils voudraient pas que les films pornos soient supprimés, ils ont l'air d'être dépendants ces parisiens ;-), mais sérieusement, ils font partis des rares personnes à respecter un tel métier qui aussi bas soit-il, en est tout de même un (ce qu'on oublie trop souvent : si ca existe c'est qu'il y de la demande ! Alors, cessez de vous voiler la face et de critiquer ! Respecter. ). "NE CHERCHE PAS D'EXCUSE PERSONNE NE T'ACCUSE !"

"t.n." est à citer car elle est sur tous les albums des groupes du Team Nowhere ("T.N. rallie la cause ! Team Nowhere represent !"). Des chanteurs qui en veulent, qui crient leur rage, mais qui savent aussi la chanter doucement en chorale.

Toutes les autres chansons sont dans le même genre, du scratch, des guitares saturées, des percussions enchainant des combos de folie, un chant tantôt rap, tantôt métal-hurlé mais Mark sait aussi avoir une voix douce et harmonieuse...Non vraiment ils ont du talent, pas assez reconnu cependant...

Une exception sur cet album : "Soukaripa" qui est un morceau purement et simplement rap. Ici aucune guitares, seulement un beat, une platine (peut être une basse), et des bons hommes qui se déchainent (les trois chanteurs d'Enhancer sont de la partis !). On apprécie le bon esprit des lyrics, qui contrairement au pur rap français (j'ai entendu une chanson rap qui disait qu'il fallait laisser les racailles voler les gens tant qu'elles ne tuaient pas et ne violaient pas...elle est belle la morale des banlieues, n'est ce pas ?) est une invitation au délire et au foutage de souk(aripa).

On a droit aussi à une bonus track (la "piste à connerie" d'après eux) où on entend le groupe déconner à plein tube avec d'autres gens du T.N. vantant les mérites de Nowhere et des groupes qu'ils apprécient disant carrément d'acheter les albums et d'aller à leur concert ! Tout cela dans une ambiance conviviale et bon enfant. Ils nous remercient du soutien qu'on leur apporte, et nous demande de ramener nos soeurs...;-)

Honnêtement, Pleymo est un bon groupe, meilleur à mon goût qu'Enhancer au niveau studio (l'album d'Enhancer est bien, mais à force il donne mal à la tête, contrairement à celui de Pleymo que l'on peut écouter en boucle sans problème...). Enhancer assure sur scène c'est sûr, il y a un vrai contact avec le public, et c'est leur avantage. Pleymo, je ne sais pas je n'ai pas assister à un concert, mais il parait qu'il règne une très bonne ambiance et qu'on ne voit pas la soirée passer !

Pleymo dispose d'un chanteur à la Chino Moreno assurant aussi bien dans le texte hurlé, parlé et chanté (et Mark chante aussi bien en francais, qu'en anglais [Cosmic Gros Pluck] et même en japonais [K-Ra]). Ce premier album "Keçkispasse ?" est une vraie tuerie : un mélange réussi de metal, rap et hardcore. On ne peut qu'apprécier si on aime le metal (surtout le néo) : du délire, de la critique, du réalisme, des prises de position - on retrouve bien l'état d'esprit du rock !

A ACHETER, LES YEUX FERMES !!!!!!

PS : pour l'occasion j'ai mis "Ne sait pas", mais c'est de la musique à écouter pour se défouler, danser, se réveiller, se mettre de bon poil, musique de fête...franchement ca s'adapte à tout ou presque !



Avis de Brian_Molko sur Keçkispasse du 3 novembre 2001

paroles

En 2002 Pleymo sort sont deuxième album avec comme chansons :

01 - Dr Volodim Tank Fetaure Animation (Intro)
02 - Tank club
03 - New wave
04 - Kubrick
05 - Tout le monde se lève
06 - United nowhere
07 - World
08 - Compact
09 - Ce soir c'est grand soir
10 - Shugga
11 - Star fm-r
12 - Casino
13 - Muck

CRITIQUE :

Pleymo is back back back et je vais en parler ! Et pas qu'un peu...
Ouais, cet album "déchire". Que ça ne plaise pas aux fans de hard core pur et dur et à l'undergroundisme ambiant, on s'en tape, Pleymo avec cette galette frappe un grand coup dans la fourmilière métal française, va amplifier les clivages entre anti et pro, entre admirateurs cachés etjaloux complexés mais ne se posera pas en arbitre, pas plus que nous d'ailleurs...
Alors quid de ce Episode 2 : medecine cake ? Il faut qu'il ait plus de qualités que de défauts pour qu'on en parle et donc oui, il a beaucoup de qualités et quelques défauts...
Côté qualités, c'est donc le "plus", celui qui suit le nom du groupe sur la pochette, un + qui peut être compris comme un "meilleur Pleymo" que celui qui nous avait livré un premier album jumpant et lassant, trop vite enregistré. Donc une version plus du Pleymo qu'on connaisait et c'est vraiment ça, tout ce qu'on pouvait reprocher à Keçkispasse a disparu, on a ici davantage de mélodies et de gros son, moins de lourdeurs dans les paroles et les enchaînements, et surtout une énergie maîtrisée. Pleymo est désormais la figure de proue de la Team Nowhere mais on peut aussi y voir une synthèse des qualités de chacun avec parfois le phrasé de Enhancer ("Tank club"), l'agressivité de Wunjo ("Kubrick"), les méchantes ritournelles de AqME ("New wave") ou l'efficacité mélodique des Noisy Fate ("Star Fm-r"), et les puristes iront jusquà parler de samples inspirés du projet solo de VOST...
Pleymo avec cette énorme prod bien ficelée et qui donne envie de sauter partout sans se prendre la tête devient un portail ouvert sur la scène française et laisse s'exprimer Bob de Watcha et Flav' de Wunjo qui prêtent leurs voix à "Compact", un titre qui en devient très "Watcha" pour le bonheur de tous. Sur l'album, on trouve aussi Martin, chantre des Stereotypical Working Class, jeune combo lyonnais qui devrait profiter de la beauté de "Star Fm-r" pour s'installer durablement dans les esprits. Ainsi Pleymo n'oublie pas les Watcha qui les ont aidé et poussé à leurs débuts, n'oublie pas sa famille (Wunjo) et passe le relais aux plus jeunes, Pleymo est devenu un maillon fort.
Entre défauts et qualités, il y a les éternelles comparaisons avec les maîtres américains du style déposé "néo-métal", références obligatoires du genre, KoRn, Deftones, Limp Bizkit devant, Factory 81, Coal Chamber, Slipknot derrière. Oui l'album sonne fort comme une prod' made in USA avec la puissance et la justesse d'un son de gratte proche de Follow the leader, avec au début ("Tank club") un surmix des tomes pour bien lancer l'auditeur dans le rythme, un tempo qui s'infernalise de temps en temps (au niveau basse/batterie, ça joue sévèrement burné !) pour le plaisir des jeunes coreux qui préfèrent le pogo aux séances de jump avec les mains en l'air ("hand up, put your hands up, hands up")...
Plus mélodique, plus entraînant, mieux arrangé, son énorme, packaging et webs de toute beauté, le Pleymo nouveau a des qualités mais aussi et toujours quelques défauts...
Le plus gros étant les répétitions de l'auto-promotion du groupe et de la Team Nowhere dont on entend parler un peu trop souvent ("New Wave", "Tout le monde se lève", "United Nowhere", "Ce soir c'est grand soir"). Cette pratique venue du hip hop témoigne de l'étroitesse des thèmes abordés par le groupe qui ne semble vivre dans son petit monde en compagnie de leur télé où défilent Batman, Spiderman, le Titanic, Dallas, Billy Cosby, Dave et Travolta... Que leur univers soit toujours aussi présent (bien qu'allégé en siliconeries), ce n'est pas en soi un défaut, ça en devient un quand le groupe propose Episode 2 : medecine cake comme étant un concept album et prépare minutieusement notre entrée dans le Tank Club. Le club du Docteur du même nom avec ses galeries souterraines qui ne sont pas très loin, graphiquement parlant, de celles du manga Jin Roh. L'histoire de Sacha et de nombreuses références au docteur Tank (ambiances sonores, packaging) devraient être le fil conducteur de l'opus mais on perd bien trop souvent le fil du récit, les aller-retours entre la Russie d'avant-guerre et la banlieue parisienne d'aujourd'hui étant un peu trop nombreux... Néanmoins on peut aussi voir le bon côté de la chose avec un Pleymo qui met de la bonne volonté à sortir de son quartier et s'attaque à l'anglais et à un univers différent que celui des taspé...
Entre les grosses productions ricaines et les petits groupes français/européens, il manquait quelque chose et Pleymo a pris l'espace. Ils avaient les moyens de faire leur truc et l'ont fait, dépassant les espérances, explosant nos craintes, depuis 3 ou 4 ans le néo-métal se cherchait un vrai leader en France, il l'a trouvé, voilà donc mes prévisions pour 2002 : les kids et l'effectif Nowhere vont mettre la guerre et Pleymo sera président.
Si tu n'es pas un kid (comme moi !) mais que tu veux oublier tes soucis (et tout bien que tu détiens et un souci qui te retiens...) juste en balançant un skeud dans le lecteur, y'a pas à hésiter, mais faudra pas t'étonner si tu te mets à chanter avec Keumar ! Entre nous, c'est tellement jouissif de gueuler "Alors ferme ta gueule, vas-y ferme ta gueule..." que je m'y remets...
Bref, si tu as raté les premiers épisodes et que tu veux prendre le train en marche, c'est le moment ou jamais...


Par Oli - Février 200

paroles

Pleymo sort son troisième album en 2003 "Rock" qui raconte l'histoire de Rock, un garçon aveugle et schyzophrène, il s'imagine un frère qu'il appelle Injall... Cet album contient les chansons suivantes :

01 - Le voyage de rock
02 - Rock
03 - 1977
04 - Divine excuse
05 - L'insolent
06 - Modaddiction
07 - Sommes-nous?
08 - Zorro
09 - Polyester môme
10 - Une vie de détails
11 - Chérubin
12 - Anemia
13 - Kongen (avec Enhancer)
14 - Laugh Calvin

CRITIQUE :

Pleymo, le groupe le plus apprécié mais aussi le plus décrié de la scène métal française, est de retour avec un troisième album dénommé Rock qui va en surprendre plus d'un. L'histoire de ce CD tourne autour de la vie d'un garçon schizophrène prénommée Rock. Comme l'indique son titre, ce nouvel opus est beaucoup plus rock et tourné vers la mélodie que ses prédécesseurs. Le groupe qui en a eu marre d'être estampillé néo-métal (pourtant à juste titre) et d'entendre qu'ils ne pouvaient faire que la même chose a changé son style pour une approche plus mature avec des textes réfléchis et une musique moins rentre dedans. On peut voir ce changement de direction dans le groupe seulement par le fait que les musiciens signent maintenant leur album avec leur vrai nom et plus leur pseudo.


Est-ce qu'au moins le résultat est bon ? Dans l'ensemble, je répondrai oui. Pleymo a changé, au revoir le rap, le verlan, les textes débiles et bienvenue dans un univers plus rock et mélodique. Mark Maggiori chante quasiment tout le temps (même si ce n'est pas le meilleur chanteur, ça passe quand même bien) et ne gueule presque plus, çà c'est très dommage. J'avais lu une interview du groupe il y a quelques mois qui disait que par rapport à Medecine Cake, les passages calmes seraient encore plus calmes et les morceaux vénères encore plus vénères. Malheureusement, la deuxième partie n'est pas vérifiée. Il manque sur Rock des chansons comme les très slipknotiens kubrick et muck. Alors les titres les plus bourrins, c'est pour le prochain? Pleymo était le groupe le plus jumpant de la scène française. Du début à la fin, sur Keçkispasse et sur Medecine Cake, les chansons étaient toutes super énergiques, assez bourrins et très efficaces. Sur Rock, il ne reste plus que l'efficacité et un peu de peps ce qui est très dommage. Des chansons où Mark pousse une gueulante auraient été plus que bienvenues.


Quoi qu'il en soit, Pleymo a en général réussi son passage vers un univers plus rock. Les mélodies sont bonnes sur les titres qui sonnent métal et pas toujours réussies pour le reste. Ils ont réussi à calmer le jeu et faire des titres plus sympas et pas forcément bourrins. Malheureusement, cela ne vaut que pour la moitié du CD. Il est quasiment coupé en deux entre des chansons avec une base métal et une autre partie beaucoup trop pop. Divine excuse représente le mieux cette évolution, on y on voit les deux facettes de Rock, c'est-à-dire la mélodie un peu facile et raté ainsi qu'une influence métal sympa.
Rock comporte quelques titres que l'on pourra retenir, notamment la chanson du même nom avec un refrain qui restera longtemps dans nos têtes. 1977, L'insolent, Polyester môme et Chérubin restent dans la veine Pleymo et métal sauf qu'il y a de vrais textes et qu'elles sont moins énervées que ce que l'on avait l'habitude d'entendre. Dans le côté rock, Zorro est la plus réussie. On sera aussi surpris par le mélodique et très bon Une vie de détail. En fait, l'exception de cet album est Kongen. Ce titre très rap-métal n'aurait pas fait tâche sur Keçkispasse où l'on retrouve en guest les Enhancer qui vont faire jumper tout le monde avec leur « Shut the fuck up ».
Voilà pour les réussites, les autres chansons sont trop pop et on a fortement envie de les zapper quand on les entend. Laugh Calvin est même quasiment inécoutable. Modaddiction est un titre qui dénonce la Star Academy. Mark a fait exprès de la faire calme et çà se comprend, c'est plus facile de gueuler contre quelque chose que d'en parler calmement. Il n'empêche que j'aurai bien aimé entendre un titre dans le style de Muck pour ce thème.

Le vrai plus de cet album est qu'il est vendu dans son édition collector avec un DVD et un livret de 52 pages où l'on retrouve le processus créatif de cet album. Le DVD est composé de deux parties de 40 minutes chacune, une sur Medecine Cake avec la tournée, le Japon, les clips, et l'autre sur l'enregistrement de Rock. On peut voir sur le DVD que Pleymo est un des groupes qui se lâche le plus en live et j'espère que leur concert restera aussi énergique et survolté malgré le nouvel album. La pochette est comme toujours très belle, Ça aide d'avoir des graphistes dans le groupe.
En fait, il manque encore une chose chez Pleymo: un vrai live en DVD. Peut-être après le concert du 07 février à l'Olympia. Voilà ma proposition, après le groupe devra se remettre au travail pour un quatrième album, qui je l'espère sera plus énervé et bourrin que Rock.



Par Weirdkorn - 19/12/2003